Le 30 juillet dernier, un Nazairien avait été visé par des tirs, dans le quartier Plaisance. Neuf balles l’avaient atteint. Il n’a pas survécu à ses blessures.
Il est décédé vendredi 14 août. Le Nazairien de 27 ans qui avait été admis en urgence au CHU de Nantes après avoir été la cible de tirs nourris, le 30 juillet dernier, à Saint-Nazaire, n’a pas survécu à ses blessures, a confirmé hier le parquet de Saint-Nazaire.
Neuf impacts sur le corps
Ce soir-là, peu avant 20 heures, cet homme avait été blessé par balles, avec un .44 Magnum, alors qu’il se trouvait dans la rue Mozart, quartier Plaisance à Saint-Nazaire. Après les coups de feu, nourris, des témoins avaient vu un homme rassembler des affaires avant de s’enfuir avec un autre.
Le blessé, lui, avait été conduit à l’hôpital de la ville par des proches, sans que les secours soient alertés. Sur son corps, les médecins avaient relevé neuf impacts de balles. Ses bras, ses jambes et son thorax avaient été touchés. Il avait été héliporté au CHU de Nantes dès le lendemain et faisait, depuis lors, l’objet de soins. Las. Cet homme s’est finalement éteint vendredi 14 août.
La brigade criminelle de l’antenne de police judiciaire de Nantes qui enquêtait jusqu’alors sur une « tentative de meurtre » cherche désormais un meurtrier.
Une fillette blessée dès le lendemain
Pour mémoire, vingt-quatre heures après cette première scène
ultraviolente, une autre arme était sortie à un feu rouge et avait visé
une voiture, rue Gutenberg, dans le quartier du Petit-Caporal, à
Saint-Nazaire. Ce soir-là, le tireur avait cherché à viser un proche de
l’homme blessé la veille. Mais c’est une fillette de 12 ans qui avait
été touchée au mollet, après qu’une balle de calibre 9 mm a traversé la
carrosserie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire