Un nouvel effroyable drame de la route s'est produit dans le Tarn-et-Garonne. Un homme a percuté le mur d'une maison. Il avait 23 ans.
La violence du choc n’a laissé aucune chance au conducteur de la Peugeot 206 face à un mur de clôture d’une maison, puis un abribus. Un nouveau drame de la route est survenu, dans la nuit de mercredi à jeudi, sur la départementale 926, entre Caussade et Caylus, dans le Tarn-et-Garonne.
Il était un peu plus de 3 heures du matin lorsque, pour une raison encore indéterminée, un jeune homme âgé de 23 ans, Cyril Authie, domicilié à Caylus, a perdu le contrôle de sa voiture sur cette grande ligne droite située au niveau de la commune de Lavaurette. La terrible embardée s’est produite peu avant l’intersection formée par la route départementale 926 et les plus petites routes se dirigeant vers Lavaurette et le hameau de Servenac, à Saint-Antonin-Noble-Val. Un routier qui circulait cette nuit-là dans le secteur a aussitôt donné l’alerte.
Malgré tous les efforts des sapeurs-pompiers et des urgentistes du Samu, le jeune homme n’a pas survécu à ses graves blessures. Il est décédé sur place. La gendarmerie de Caussade est chargée de l’enquête.
L'émotion est forte à Caylus
Selon les premières constatations, le conducteur circulait en direction de Caussade. Il aurait « mordu » et glissé sur le bas-côté avant de heurter le mur de clôture d’une maison et de terminer sa course contre l’abribus qui a, littéralement, volé en éclats sur l’impact. On ignore pour l'instant si le conducteur avait consommé de l’alcool ou des produits stupéfiants. L’enquête le dira.
À Caylus, la nouvelle de ce tragique accident de la route a fait le tour du bourg. " Nous sommes tous complètement consternés. " L'émotion est d'autant plus forte que nous connaissions tous, très bien, Cyril. Il a été pompier volontaire dans sa plus tendre jeunesse et ses parents sont des agents de notre collectivité. Il travaillait dans une entreprise de construction métallique ", souligne Christian Maffre, le maire de Caylus.
Depuis le début de l’année, cela fait maintenant quinze personnes qui ont trouvé la mort sur les routes de Tarn-et-Garonne.
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