Un jeune policier strasbourgeois s’est donné la mort jeudi après-midi avec son arme de service.
La police nationale du Bas-Rhin annonce ce vendredi sur son fil
Twitter le suicide d’un gardien de la paix de 26 ans à Strasbourg : le
jeune homme a retourné son arme de service contre lui à son domicile,
jeudi en début d’après-midi.
Originaire de Lorraine, le jeune fonctionnaire de police était arrivé à Strasbourg en 2015. Après avoir travaillé au sein des équipes de nuit de la sécurité publique, il était affecté au sein d’une brigade spécialisée de terrain de l’agglomération strasbourgeoise depuis 2018.
« C’était un jeune homme qui avait déjà de l’expérience. Il était bien intégré dans son service. Il était très apprécié de ses collègues », se souvient un ancien « nuiteux » qui a travaillé à ses côtés. En repos pour deux jours, le jeune gardien de la paix devait reprendre son poste ce vendredi.
Le jeune policier était célibataire et sans enfant. D’après les premiers éléments dont nous disposons, son geste désespéré ne serait pas lié à son activité professionnelle. Un soutien psychologique est proposé aux fonctionnaires de police qui le souhaitent.
Originaire de Lorraine, le jeune fonctionnaire de police était arrivé à Strasbourg en 2015. Après avoir travaillé au sein des équipes de nuit de la sécurité publique, il était affecté au sein d’une brigade spécialisée de terrain de l’agglomération strasbourgeoise depuis 2018.
« C’était un jeune homme qui avait déjà de l’expérience. Il était bien intégré dans son service. Il était très apprécié de ses collègues », se souvient un ancien « nuiteux » qui a travaillé à ses côtés. En repos pour deux jours, le jeune gardien de la paix devait reprendre son poste ce vendredi.
Son geste ne serait pas lié à son activité professionnelle
« Il a choisi de nous quitter […], nous laissant tous dans l’incompréhension et le désarroi », indique la police dans son message. Il va nous manquer terriblement, nous lui rendons hommage. Nos pensées vont vers ses proches et sa famille. »
Le jeune policier était célibataire et sans enfant. D’après les premiers éléments dont nous disposons, son geste désespéré ne serait pas lié à son activité professionnelle. Un soutien psychologique est proposé aux fonctionnaires de police qui le souhaitent.
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