jeudi 31 janvier 2019

Saint-Étienne : un homme condamné pour trafic de stupéfiants tué de plusieurs balles


Condamné à deux reprises à six ans de prison, l’homme purgeait une peine aménagée. Il s’apprêtait à garer son véhicule quand il a été visé par plusieurs tirs. 

Un homme de 39 ans condamné pour trafic de stupéfiants a été abattu de plusieurs balles mercredi soir à Saint-Étienne alors qu’il rentrait chez lui en voiture.
Condamné à deux reprises à six ans de détention, pour trafic de stupéfiants et association de malfaiteurs, il purgeait une peine aménagée lorsqu’il a été victime de ce probable règlement de comptes, le jour de son anniversaire.

 

La voiture du tireur a été incendiée

 

La victime s’apprêtait à garer son véhicule lorsqu’un homme à visage découvert s’est approché et a tiré avec une arme de poing un grand nombre de coups de feu, avant de repartir à bord d’une voiture. Des témoins, qui ont assisté à la fin de la scène, ont appelé les secours, mais le conducteur était décédé à leur arrivée.

La voiture utilisée par le tueur a été retrouvée incendiée à environ un kilomètre du lieu du crime, comme indiqué par le quotidien régional Le Progrès. Cette affaire, pour laquelle la police judiciaire a été saisie par le parquet de Saint-Étienne, pourrait être reprise par la Juridiction interrégionale spécialisée de Lyon.

Le parquet exclut tout lien avec le meurtre, le 10 décembre à Saint-Étienne, d’un quadragénaire connu de la justice, pour laquelle une marche blanche, réunissant une cinquantaine de personnes, a eu lieu mercredi.Une large banderole déployée en tête de cortège indiquait : "Vous connaissez les coupables. Vous attendez quoi ? Un autre meurtre ?".  

Chute mortelle d'un élève au lycée des Fontenelles : la thèse de l'accident se confirme


Le corps d'un adolescent a été retrouvé ce jeudi matin dans l'enceinte du lycée Saint-Joseph, aux Fontenelles (Haut-Doubs), par un agent chargé du déneigement. L'établissement est sous le choc. Saisi de l'affaire, le parquet de Montbéliard privilégie une chute accidentelle.

Macabre découverte dans la neige

 

La scène a soudainement attiré son regard, ce jeudi 6 h 45 : un employé chargé du déneigement a aperçu un corps allongé sur la neige, avec des traces de sang, dans la cour du lycée des Fontenelles (Haut-Doubs).
Cette macabre découverte a eu lieu dans l'enceinte de l'établissement, sous les fenêtres de l'internat, situé au 4e étage. A leur arrivée, les secours n'ont pu que constater le décès du jeune lycéen, âgé de 14 ans. Il s'agirait d'une chute mortelle, dont les circonstances restaient alors à établir.

 

Les techniciens de l'identification criminelle sur place

 

Vers midi, la prudence restait de mise. Trois hypothèses venaient à l'esprit : celle d'une chute accidentelle, d'un geste désespéré ou d'un acte criminel. Aucune n'était exclue en début d'enquête, certains éléments étant jugés troublants.
Les gendarmes ont pris possession des lieux et ont établi un périmètre de sécurité, tôt ce jeudi matin, afin de procéder à leurs premières constatations et de recueillir tous les témoignages possibles. Venus de Besançon, les spécialistes de l'identification criminelle sont arrivés vers 10 h. Une tente a été dressée sur les lieux de la découverte du corps, à l'abri des regards. Le tout dans une ambiance pesante.

Une cellule d'aide psychologique pour le lycée

 

Supervisée par le parquet de Montbéliard, l'enquête a été confié à la brigade des recherches de Pontarlier. La priorité était de déterminer avec précision les causes de ce décès brutal, qui laisse le lycée Saint-Joseph sous le choc.
La trentaine d'élèves de l'internat présents cette nuit-là ont été isolés. Certains doivent être entendus par les gendarmes, notamment les compagnons de chambre de la victime. Une cellule psychologique est arrivée aux Fontenelles vers 11 h 30 pour soutenir l'ensemble des lycéens, des enseignants et du personnel de l'établissement, durement éprouvés.

Selon le parquet de Montbéliard, la thèse privilégiée par les enquêteurs serait de nature accidentelle. La victime avait pris l'habitude de fumer sur l'étroit parapet de sa fenêtre, située au 4e étage, à une douzaine de mètres du sol. Le lycéen de 14 ans serait tombé par accident dans ces circonstances, au milieu de la nuit. Selon les premières constatations, c'est une blessure à la tête qui lui a été fatale. Une autopsie aura lieu ce vendredi.

Ses compagnons de chambre, plongés dans leur sommeil suite à une journée en plein air, n'avaient visiblement rien remarqué. Au moment de la découverte du corps, la fenêtre en question semblait par ailleurs fermée. Ces deux éléments ont suscité l'interrogation des gendarmes, mais leurs vérifications tendent finalement à accréditer cette triste piste de l'accident. "Aucun élément pour l'heure ne permet de conclure à l'intervention d'un tiers. L'enquête se poursuit pour déterminer les circonstances de la chute", conclut le bref communiqué de presse du parquet.
 

mercredi 30 janvier 2019

Vergigny : une personne mortellement percutée par un TGV

 
Une personne est morte ce lundi 28 janvier 2019 vers 22 h 30, à hauteur de Vergigny, après avoir été percutée par un TGV lancé sur la voie Lyon-Paris. La thèse du suicide est la plus probable. 
 
Un accident ferroviaire mortel a eu lieu ce lundi 28 janvier aux alentours de 22 h 30, sur le secteur de la commune de Vergigny. Un homme d'une trentaine d'années habitant à Lasson a été tué à la suite d'un choc avec un TGV transportant 350 passagers qui circulait sur la voie Lyon-Paris.

La thèse du suicide est fort probable, selon les gendarmes de Saint-Florentin et Seignelay présents sur place. En présence d'employés de la SNCF, en charge de la sécurité sur les voies, des techniciens en identification criminelle ont entrepris leurs constatations. Le point de choc se trouverait à proximité directe d'une porte d'accès aux voies, verrouillée. Un véhicule était stationné à quelques mètres de cette dernière.

 

Le trafic entièrement arrêté

 

Le TGV, qui transportait près de 300 personnes, a été arrêté deux kilomètres plus au nord des voies. Un train venu de Paris est allé chercher ses passagers. Le trafic a été entièrement arrêté sur l'axe Paris-Lyon-Marseille le temps des recherches. Trois TGV sur cet axe ont été déviés sur le réseau classique.

Un homme se tue après avoir enjambé son balcon à Pont-Sainte-Marie


Le drame a eu lieu lundi matin, dans un appartement du quartier Debussy à Pont-Sainte-Marie. D’après les premiers éléments de l’enquête, c’est une querelle entre un homme et sa compagne qui aurait précédé le tragique accident.

Elle le menaçait de rompre, il était prêt à tout pour faire entendre sa voix. Vers 9 h, l’homme âgé de 35 ans aurait enjambé le balcon de son logement situé au troisième étage pour plaider sa bonne foi.

Alors qu’il tentait de s’agripper pour remonter, il aurait glissé.
Les secours ont tout tenté afin de le maintenir en vie, en vain.

Thouars : un homme tué par un coup de couteau


Un homme de 37 ans a été tué d'un coup de couteau ce dimanche à Thouars, dans les Deux-Sèvres. Un suspect s'est dénoncé. Il est interné et n'est pas en état d'être entendu.

Le corps d'un homme de 37 ans a été découvert ce dimanche après-midi à Sainte-Radegonde, qui fait désormais partie de la commune nouvelle de Thouars, dans le nord Deux-Sèvres. Il a été tué d'un coup de couteau en plein cœur, chez lui. C'est ce que confirme l'autopsie réalisée ce lundi à l'institut médico-légal de Poitiers.

Un peu après le drame, un homme appelle les forces de l'ordre en se dénonçant. Les gendarmes l'appréhendent. Cet individu tient des propos délirants. Il s'agit d'un jeune homme de 23 ans, inconnu de la justice. Il a été interné en milieu fermé et n'est toujours pas en état d'être entendu. Des expertises psychiatriques doivent être menées.

 

La victime et le suspect s'étaient a priori déjà croisés

 

Il n'y a en tout cas pas eu de bagarre. Un couteau a été retrouvé mais des analyses complémentaires sont en cours pour déterminer s'il s'agit bien de l'arme du crime. Une enquête en flagrance pour homicide volontaire a été ouverte par le parquet de Niort, confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Bressuire. Le pôle de l'instruction de Poitiers va être saisi. Les familles de la victime et du suspect ont été entendues. D'après les premiers éléments, les deux hommes s'étaient déjà croisés mais n'avaient pas plus de liens que cela.

mardi 29 janvier 2019

Nord: Disparu depuis le 15 décembre, Yolan, 17 ans, a été retrouvé mort

 
Le corps de l'adolescent a été retrouvé dans la Deûle, le fleuve de la métropole lilloise

Il n’y a plus d’espoir. Disparu depuis le 15 décembre, Yolan, un adolescent de 17 ans originaire de Wavrin, près de Lille, a été retrouvé mort. Selon le Parisien, le corps du jeune homme a été retrouvé dans la Deûle. « Les résultats de l’autopsie et des analyses ADN ont révélé en début de semaine dernière que ce corps était bien celui de Yolan Delannoy », a annoncé le parquet de Lille au quotidien.

C’est la maman de Yolan qui avait alerté les gendarmes le lendemain de la disparition. Son fils, qui devait regagner le domicile familial à Wavrin vers 22 heures le 15 décembre, n’est jamais rentré.
Des recherches avaient été entreprises avec d’importants moyens. Des battues avaient été organisées par les militaires appuyés par la brigade cynophile. Une équipe de plongeurs de la gendarmerie et la brigade nautique avaient été mobilisés pour explorer le canal de la Deûle. C’est finalement le signalement d’un promeneur qui a permis de retrouver l’adolescent.

lundi 28 janvier 2019

Cher : l’enfant percuté par un bus n’a pas survécu


Mardi dernier, un petit garçon d’une dizaine d’années a été pris en charge à l’hôpital après avoir été heurté par un bus. La neige et le verglas ont été à l’origine de cette terrible collision qui a finalement conduit à la mort de l’enfant.
 
Triste nouvelle dans le Cher. L'enfant de 10 ans qui avait été heurté par un bus il y a un peu moins d'une semaine à Véreaux, est finalement décédé des suites de ses blessures. Il avait été heurté par le véhicule suite à une perte de contrôle du chauffeur au moment du redémarrage. Selon France 3 Centre-Val de Loire, ce dernier ne s'était rendu compte de rien et avait poursuivi sa route.

Charente-Maritime : un homme décède après avoir été fauché par une voiture


Un homme d’une trentaine d’années a été fauché et tué par une voiture samedi, vers 22h30, alors qu’il circulait à pied sur la D 939 à hauteur de la commune d’Aytré.

Samedi, vers 22 h 30, un homme d’une trentaine d’années a été fauché et tué par une voiture alors qu’il circulait à pied sur la D 939 à hauteur de la commune d’Aytré (au sud de La Rochelle) et non loin de la limite de la commune de La Jarne. La famille de la victime habite dans ce secteur de l’agglomération rochelaise.

À la suite du choc, l’automobiliste s’est arrêté et a alerté les secours. Les sapeurs-pompiers n’ont pu que constater le décès. La police est en charge de l’enquête visant à établir les circonstances et responsabilité de cet accident.

Houdain : deux morts, dont un bébé, et trois blessés graves dans un face à face


L'accident s'est produit hier soir dans une rue d'Houdain, près de Bruay-la-Buissière.

Deux personnes sont décédées et trois autres ont été grièvement blessées dans un "choc frontal très violent" entre deux voitures, dimanche soir sur la commune d'Houdain, dans le Pas-de-Calais, indiquent les pompiers, confirmant une information de La Voix du Nord.

Le drame est survenu dimanche 27 janvier vers 21h30, rue du Général de Mitry, en pleine ville. Dans des circonstances que l'enquête de police doit déterminer, les deux voitures se sont percutées en face à face.
 

Six victimes

 

Un enfant âgé de trois ans et un homme âgé de trente ans, ont été déclarés décédés sur place. Une femme d'une trentaine d'années qui conduisait la voiture où se trouvait l'enfant a été transportée en urgence absolue à Lille.

Dans l'autre véhicule, outre l'homme décédé, se trouvaient une fillette de quatre ans et une femme de 29 ans, hospitalisée en urgence absolue à Arras avant d'être héliportée à Lille. Un homme de 32 ans a également été hospitalisé, quant à lui en urgence relative, à l'hôpital de Beuvry.

L'intervention a mobilisé une trentaine de sapeurs-pompiers venus des casernes de Bruay, Béthune, Lillers, Auchel et Pernes.

Un mort et un jeune entre la vie et la mort après un dramatique accident de la route à Carros

 
Un accident de la circulation s'est produit cette nuit à Carros, avec des circonstances dramatiques puisqu'un jeune homme de 19 ans a perdu la vie, le conducteur âgé de 21 ans se trouvant dans un état d'urgence absolue. 
 
Il était 0h20 lorsque les secours ont été appelés. La voiture, alors que ses occupants circulaient sur la route de la zone d'activités de la Grave, est tombée dans un canal d'évacuation des eaux usées, à la hauteur du n°1443.

Une vingtaine de sapeurs-pompiers se sont immédiatement rendus sur les lieux. Malgré leurs tentatives, le passager n'a pu être réanimé tandis que le conducteur était transporté à l'hôpital Pasteur 2, son pronostic vital engagé.

Aucune explication n'a été donnée sur les circonstances de cette perte de contrôle, une enquête est en cours.
Depuis le début de l'année, la route a déjà fait 4 morts dans les Alpes-Maritimes.

dimanche 27 janvier 2019

La Boulaye : un homme a perdu la vie dans un accident de la route


Un homme a perdu la vie dans la nuit de samedi à dimanche sur la commune de La Boulaye, près de Toulon-sur-Arroux, à la suite d'une sortie de route.

Peu avant une heure du matin dans la nuit de samedi à dimanche, un Renault Espace a quitté la RD 240, sur la commune de La Boulaye, pour achever sa trajectoire dans les prés en contrebas. Seul au volant de son véhicule, un homme a perdu la vie dans cette sortie de route, dont l'origine ne pourra être déterminée qu'après une enquête minutieuse.

Dépêchés sur place, les pompiers de Toulon-sur-Arroux, la commune voisine, n'ont pas pu sauver le conducteur.

La victime est un homme d'une quarantaine d'années domicilié sur la commune de Saint Eugène, mais son identité n'a pas été révélée par les gendarmes d'Etang-sur-Arroux, qui ont sécurisé les lieux et réalisé les premières observations.

Accident mortel : le conducteur avait bu et consommé du cannabis


Les analyses des prélèvements sanguins pratiqués sur le conducteur de la voiture qui a percuté un camion à l’arrêt, mardi matin, avenue Gabriel-Péri à Saint-Martin-d’Hères, ont été révélés ce jeudi.

L’homme de 31 ans qui conduisait cette BMW avait 1,02g d’alcool par litre de sang. Une très forte concentration du principe actif du cannabis a par ailleurs été retrouvée dans le sang de ce Georgien de 31 ans.

Cet automobiliste ainsi que le chauffeur du camion, un homme de 43 ans père de deux enfants, ont perdu la vie dans cet accident qui avait également fait un blessé grave.

Le passager de la BMW avait été transporté au CHU Grenoble-Alpes en urgence absolue. Mais on apprend ce jeudi que les jours de ce Martinérois de 18 ans ne sont plus en danger.

Cotentin : un automobiliste meurt après avoir percuté un arbre


Mardi 22 janvier 2019, peu après 23 heures sur la commune de Quettehou (Manche), une personne a trouvé la mort après un accident de la route.

Mardi 22 janvier, peu après 23 heures et pour des raisons encore inexpliquées, un véhicule a effectué une sortie de route sur la RD 902, à hauteur de la commune de Quettehou, dans le bois du Rabey.
A l’issue de son embardée, le véhicule a percuté un arbre.

Déclaré mort sur place

 

A leur arrivée, les secours ont dû procéder à la désincarcération du conducteur de 34 ans, originaire de La Pernelle.

Pris en charge par le Service Mobile d’Urgence et de Réanimation de Valognes, l’automobiliste a été déclaré mort par le médecin sur place.  

Sarthe : Un policier affecté à la CRS 10 s’est suicidé.


Nouveau suicide dans les rangs de la police nationale ce jeudi.

Un policier affecté à la Compagnie républicaine de sécurité (CRS 10) du Mans dans la Sarthe s’est donné la mort avec son arme de service ce jeudi soir. Il s’agirait du 11ème policier à se suicider depuis le 1er janvier.

Régis R. était âgé de 42 ans. Ce vendredi matin, l’émotion a été très forte à l’annonce de sa mort. Le policier était très apprécié de ses collègues. Ce dernier devait repartir en déplacement ce matin, en région parisienne, pour plusieurs jours. La CRS 10 était déjà engagée sur les missions de maintien de l’ordre samedi dernier à Paris. Pour l’heure, les raisons de son geste restent inconnues.

 

Une lettre laissée

 

Le policier qui s’est donné la mort a choisi de laisser une lettre nous indique une source policière. Dans son récit, le CRS met en cause « les conditions de travail » et le problème « des évolutions de carrière ».

 

Un appelle du DGPN à signaler les agents en « situation de fragilité »

 

Ce lundi, le Directeur général de la police nationale (DGPN) Eric Morvan a diffusé un télégramme adressé à toutes les directions. Dans cette note, le DGPN demande à la hiérarchie policière de signaler les agents en « situation de fragilité », indiquant que 10 policiers se sont ôté la vie depuis le début de l’année.
« Ce constat douloureux doit nous amener collectivement, à nous rappeler le devoir de soutien de toute la chaîne hiérarchique, du chef de service à l’encadrement de proximité, et la solidarité entre collègues » explique Eric Morvan.

36 policiers se sont suicidés en 2018, tout comme au moins 31 gendarmes. En 2017, ce sont 51 policiers qui s’étaient ôté la vie.

samedi 26 janvier 2019

Colmar : un cycliste tué par une voiture


Un cycliste de 42 ans a été renversé, ce jeudi 24 janvier, aux alentours de 21h30 par une voiture route d'Ingersheim à Colmar. L'homme transporté à l'hôpital Louis Pasteur en état d'urgence absolue n'a pas survécu à ses blessures.

Un grave accident est survenu à l'angle de la route d'Ingersheim et de la rue de la Poudrière ce jeudi 24 janvier à Colmar. Il était environ 21h30 quand un cycliste est mortellement percuté par un véhicule léger. Evacué en état d'urgence absolue par les pompiers du Haut-Rhin, l'homme admis à l'hôpital Louis Pasteur n'a pas survécu à ses blessures. La victime était âgée de 42 ans. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l'accident. Selon la police, le vélo de la victime était dépourvu de dispositif de lumière.
 

La police s'oriente vers un suicide après la mort d'un homme de 24 ans heurté par un train, à Chartres

 
La personne morte après avoir été heurtée par un train, ce vendredi 25 janvier 2019, sur la ligne SNCF Paris-Chartres-Le Mans, a été identifiée. Il s'agit d'un homme de 24 ans. La police s'oriente vers un suicide. 
 
Un homme est mort après avoir été heurté par un train, ce vendredi 25 janvier 2019, vers 20h15, sur la ligne SNCF Paris-Chartres-Le Mans, moins d'un kilomètre avant la gare de Chartres.

Le TER arrivait de Nogent-le-Rotrou. Son terminus était prévu à Chartres. Il ne transportait aucun voyageur et rentrait au dépôt.

 

Schizophrénie

 

Une quinzaine de sapeurs-pompiers sont intervenus. La police scientifique également.

A lire aussi : Une personne meurt après avoir été heurtée par un train à Chartres

La police de Chartres annonce s'orienter vers un suicide. Il s'agit d'un homme âgé de 24 ans, sans domicile fixe et originaire d'Orléans (Loiret).

Sorti de prison il y a moins d'un mois, ce jeune homme semblait être atteint de schizophrénie, selon les premiers éléments de l'enquête.
 

jeudi 24 janvier 2019

Loiret : un détenu est mort en mettant le feu à son matelas dans une prison


Un détenu est mort ce lundi 21 janvier, probablement intoxiqué par les fumées, après avoir mis le feu à son matelas dans la prison de Saran.

Un homme de 38 ans, incarcéré depuis moins d'un mois au centre pénitentiaire d'Orléans-Saran, est décédé lundi 20 janvier. Seul dans sa cellule, le détenu "a visiblement incendié son matelas" en fin de soirée, a expliqué le procureur de la République, Nicolas Bessone, et aurait été asphyxié par les fumées, avant l'arrivée des pompiers.


"Depuis leur mirador, les surveillants ont vu sortir une fumée noire de la fenêtre de sa cellule. Ils ont donné l'alerte. Mais, quand ils sont arrivés, la personne était décédée très vraisemblablement par inhalation de ces fumées", a précisé le magistrat. 

Le 28 décembre 2018, cet homme avait été condamné à un an de prison ferme pour violences conjugales par le tribunal correctionnel de Montargis. Un autre détenu, légèrement blessé, a été transporté à l'hôpital d'Orléans, situé à 6 kilomètres.

"Il lui avait été retiré tout ce qui pouvait lui permettre de se mutiler ou de se pendre, malheureusement, il avait conservé son briquet", a ajouté le procureur. Faisant l'objet d'un suivi particulier en raison d'un possible risque de suicide, il devait être transféré à l'UHSA (unité hospitalière spécialement aménagée, une unité pénitentiaire pour les personnes qui ont des problèmes psychologiques ou psychiatriques). Une autopsie a été ordonnée pour confirmer les causes de sa mort. 

mardi 22 janvier 2019

Un bûcheron de 32 ans tué par la chute d'un arbre à Walheim


Un homme de 32 ans a été victime ce matin d’un accident de bûcheronnage. Il était sous un arbre quand celui-ci s’est abattu sur lui. Ses collègues l’ont dégagé mais à l’arrivée des sapeurs-pompiers d’Altkirch, Mulhouse et Hirsingue et les médecins du Samu venus sur place en hélicoptère, l’homme était en arrêt cardio-vasculaire.

Les tentatives pour le réanimer ont été vaines. Le médecin du Samu a déclaré le décès du bûcheron sur place.

Béziers : un ouvrier se tue en tombant de 12 m de haut

 
Un ouvrier d’une trentaine d’années s’est tué, ce lundi 21 janvier en fin de matinée, après avoir fait une chute d’une douzaine de mètres de hauteur à La Courondelle.
 
Lundi 21 janvier, vers 11 h, un homme de 34 ans demeurant à Lunel, a fait une chute du toit d’un immeuble de trois étages situé rue Victor-Grignard, dans le quartier de la Courondelle, à Béziers, alors qu’il effectuait des travaux d’étanchéité. Il est décédé des suites de ses blessures une heure plus tard à l’hôpital de Béziers où il avait été conduit.

 

Une autopsie ordonnée

 

Ils étaient deux ouvriers sur le chantier quand le drame est survenu. Son collègue était dans le véhicule. Selon les éléments en possession des enquêteurs de la police, la victime avait de quoi s’équiper pour sa sécurité. Le baudrier de sécurité et tout ce qu’il fallait ayant été retrouvé sur le toit en travaux.

L’homme serait tombé d’une hauteur variant entre 12 et 14 mètres de hauteur. Une autopsie, ordonnée par le parquet, devrait avoir lieu dans les jours prochains.

lundi 21 janvier 2019

Bellaing : un mort et un blessé grave dans une collision entre un scooter et un piéton


Un pilote de scooter est décédé dans la soirée du dimanche 20 janvier à Bellaing, dans le Valenciennois, en percutant un piéton. Ce dernier a été transporté dans un état grave à l'hôpital. 

Un grave accident s'est produit dimanche 20 janvier sur le chemin départemental 13 à Bellaing, près de Valenciennes (Nord). Peu avant 21h30, un scooter y a percuté un piéton qui marchait sur le bas-côté de la route, dans des circonstances qui restent à déterminer.


Le pilote de scooter décédé


Le pilote du scooter, âgé de 30 ans, était déjà décédé à l'arrivée des secours sur les lieux. Le piéton, âgé lui de 33 ans, a été transporté à l'hôpital, souffrant d'un traumatisme crânien et de fracture(s) au niveau des membres inférieurs.

Une enquête de police est ouverte afin de déterminer les causes de cet accident.

Seine-et-Marne : trois morts dans deux chocs frontaux sur la route


Deux frères de 20 et 22 ans, habitant à Chevru, ont perdu la vie dans une collision à Beautheil, vers 23 h 30, dimanche. Un autre accident a fait un mort, une femme de 60 ans habitant Tigery, à Moissy-Cramayel, vers minuit.

Trois morts, deux blessés dont le pronostic vital est engagé et deux victimes plus légèrement atteintes. C’est le triste bilan des deux accidents, qui se sont produits dans la nuit de dimanche à lundi, sur des routes de Seine-et-Marne.

A Beautheil, vers 23 h 30, le premier drame a eu lieu sur la D 209. Pour une raison que l’on ignore encore, deux voitures sont entrées en collision dans un face-à-face. Le choc frontal a été fatal aux deux jeunes qui se trouvaient à bord d’une Skoda Fabia, roulant dans le sens nord sud. Ces deux frères, âgés de 20 et 22 ans, habitaient le village de Chevru.

« C’est la catastrophe ! J’ai du mal à m’en remettre. C’est un gros choc quand vous apprenez cela à 1 heure du matin », réagissait ce lundi matin le maire de Chevru, Jean-François Masson (SE). L’élu explique qu’il sera présent pour la famille mais ne cherchera pas à s’imposer, par respect.
Les deux frères, il les connaissait. « Pierre et Vincent, ce sont deux jeunes de très bonne famille. L’un au moins, Vincent, a fréquenté l’école de Chevru. Ils revenaient du rugby. Ils fréquentent le club de Coulommiers. Je sais que l’accident est un face-à-face. Mais je n’en sais pas plus sur les circonstances. »

De son côté le maire de Beautheil, Jean-François Perrin (SE), commune où la collision s’est produite, ne savait rien non plus des conditions de l’accident. Sous le choc lui aussi, il a juste prononcé ces mots : « C’est dramatique ! »
Dans le second véhicule, une Citroën C4, se trouvaient trois habitants de Saints : une femme au volant, son époux à ses côtés et leur fille de 16 ans, à l’arrière. Le pronostic vital des parents est engagé.

La mère a été héliportée aux urgences du centre hospitalier universitaire Henri-Mondor, à Créteil (Val-de-Marne). Le père a été conduit à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), par un second hélicoptère. Leur fille, fortement choquée, a également dû être hospitalisée.

 

Une sexagénaire tuée dans un choc frontal à Moissy

 

A Moissy-Cramayel, le second accident a eu lieu vers minuit, à sur la D 306, au croisement des avenues Henri-Poincaré et Marguerite-Perey. Il a également impliqué deux voitures.
Une femme de 60 ans, qui habitait Tigery (Essonne), y a perdu la vie. Elle roulait avenue Poincaré et tournait à sa gauche vers l’avenue Perey, quand sa Citroën C2 est entrée en collision avec une Mercedes. Selon les premiers éléments de l’enquête de police, la victime, qui ne portait pas de ceinture, a été éjectée de son véhicule et est décédée.

Un homme de 26 ans, qui se trouvait dans la seconde voiture, a été hospitalisé à Melun, se plaignant notamment de douleurs thoraciques. Il habite Lieusaint.

Dans les deux cas, la police est chargée de déterminer les circonstances précises qui ont conduit à ces deux drames.

Tours : le corps de Nicolas Moulay retrouvé dans la Sarthe


Le corps de ce pompier volontaire a été retrouvé dans le département de la Sarthe. Âgé de 39 ans, Nicolas Moulay avait disparu de son domicile à Tours le 9 janvier dernier. 

La police de Tours annonce ce lundi 21 janvier que le corps sans vie de Nicolas Moulay a été retrouvé samedi 19 janvier dans le département de la Sarthe. Un appel à témoins avait été lancé le 10 janvier, le lendemain de sa disparition jugée inquiétante. Nicolas Moulay, 39 ans et pompier volontaire, avait quitté sans raison son domicile de Tours, situé dans le secteur du carrefour de Verdun à bord de son véhicule RENAULT Clio. Pour l'instant la Police ne précise pas les circonstances du décès mais lève l'appel à témoins. 

Près de Caen, un homme se donne la mort au skate-park


Vendredi 18 janvier 2019, un homme de 36 ans s'est donné la mort au skate-park de Louvigny, près de Caen (Calvados).

Dramatique découverte, vendredi 18 janvier 2019, à Louvigny, une commune située aux portes de Caen (Calvados). Au lever du jour, le corps d’un homme a été retrouvé pendu sur le site du skate-park communal, à proximité immédiate du gymnase Yannick-Noah.

 

Vive émotion dans la commune

 

Le maire de la commune, Patrick Ledoux, confirme l’émotion qui s’est emparée des Loupiaciens :

À ma connaissance, c’est la première fois qu’un événement dramatique comme celui-ci survient à Louvigny.

 

Aperçu depuis la route

 

Âgé de 36 ans, l’homme était un habitant du village.
C’est un père de famille, emmenant ses enfants à l’école, qui a aperçu le corps depuis sa voiture, sur la route toute proche. La police s’est rendue immédiatement sur place.

Un Français meurt dans une avalanche en Suisse


Un Français âgé de 39 ans a trouvé la mort dans une avalanche, samedi, en Suisse, rapportent nos confrères du Dauphiné libéré.

La coulée s'est déclenchée après de fortes chutes de neige, à proximité du sommet du Vanil Carré, sur la commune de Château-d’Oex, dans le canton de Vaud.

 

Deux autres blessés légers

 

L'homme faisait partie d'un groupe de sept randonneurs à ski français. Ce sont les autres randonneurs qui ont donné l'alerte. Mais les secours n'ont rien pour faire.
Deux autres victimes ont pu être rapidement dégagées, elles sont légèrement blessées, mais choquées.

 

Alerte maximum

 

Les services météorologiques suisses avaient élevé la semaine dernière le niveau d’alerte avalanches au plus haut degré dans plusieurs parties du pays.

dimanche 20 janvier 2019

En Mayenne. Collision au Horps : le jeune passager est décédé


Le grave accident survenu, vendredi 18 janvier, dans la commune du Horps, sur la route nationale 12, a fait deux blessés. Le passager de la camionnette, âgé de 17 ans, a été héliporté à Angers où il est décédé.

Le dramatique accident est survenu, vendredi 18 janvier, peu après 14 h 30, au lieu-dit Ricordeau, sur la route nationale 12, commune du Horps (Mayenne). Un camion d’équarrissage et un véhicule utilitaire se sont percutés de face. Un passager de l’utilitaire, âgé de 17 ans, a été désincarcéré par les pompiers durant plus de deux heures. Puis héliporté au centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angers. Le conducteur de la camionnette a également été blessé, moins gravement. Les deux victimes sont originaires du Nord Mayenne.

 

En 2018, 21 personnes ont perdu la vie en Mayenne

 

L’information a été confirmée par le maire du Horps, Gérard Dujarrier, le jeune homme héliporté est décédé des suites de ses blessures.

Il s’agit de la première victime de la route en Mayenne depuis début 2019. L’an passé, 21 personnes ont perdu la vie dans le département.

Hérault : un motard et un automobiliste tués sur la route


Les sapeurs-pompiers de l’Hérault sont intervenus ce dimanche soir, à 19h25 route de Montpellier sur la commune de Boisseron au niveau de la départementale D610 pour un grave accident de circulation.

A l’arrivée des secours, une voiture seule avait faite une violente sortie de route contre un platane. À l’intérieur du véhicule, un homme âgé de 40 ans se trouvait en arrêt cardio-ventilatoire. Malgré plusieurs tentatives de réanimation, la victime est malheureusement décédée.

Les sapeurs-pompiers de Lunel renforcés par ceux de Sommières se sont rendus sur place. Pas de précisions sur les circonstances de l’accident.

Accident à Puissalicon

 

Par ailleurs, un motard âgé de 26 ans est décédé des suites de ses blessures ce dimanche au département anesthésie réanimation -DAR A- au CHU de Montpellier, où il avait admis dans un état très grave, après avoir été victime d’un accident sur la commune de Puissalicon, au nord de Pézenas, samedi vers 18h. Il avait été héliporté en urgence au DAR A. par l’hélicoptère du Samu 34, avec le pronostic vital engagé, où il est décédé ce dimanche.

Les gendarmes sont chargés de l’enquête : il n’y a eu aucun témoin de la violente sortie de route du pilote de la moto.

C’est le troisième motard qui trouve la mort dans l’Hérault depuis vendredi, après un Gardois de 49 ans, sur la RD 610 à Saint-Geniès-des-Mourgues et le Montpelliérain de 30 ans, hier soir entre les ronds-points du Grand M. et du Rieucoulon, à la hauteur de la Foirfouille, à Montpellier.
Depuis le début de l’année, le bilan s’élève à quatre morts sur les routes.

Accident mortel sur la D943 à Brienon-sur-Armançon

Le véhicule a percuté deux arbres, avant de traverser la chaussée, et de terminer dans le fossé, à hauteur de Brienon-sur-Armançon, sur la D943.

Un accident, impliquant un seul véhicule, s'est produit vers 21 h 30, ce mardi 15 janvier, sur la D943 à hauteur de Brienon-sur-Armançon. Une personne est décédée, trois autres sont blessées, dans cette violente sortie de route. 
 
Pour des raisons encore indéterminées, une sortie de route mortelle s'est produite ce mardi 15 janvier, vers 21h30, sur la D943, à hauteur de Brienon-sur-Armançon.

Alors qu'elle circulait en direction de Saint-Florentin, sur une grande ligne droite, une voiture, avec à son bord quatre jeunes hommes, a quitté la route, percuté deux arbres, avant de traverser la chaussée et de terminer sa course  en contrebas d'un petit pont en pierre.

 

Un mort et trois blessés

 

Dans le choc, un des occupants, âgé de 28 ans, est décédé. Les trois autres ont été hospitalisés. L'un d'entre eux, un homme de 22 ans, se trouvait en urgence absolue, mais son pronostic vital n'était pas engagé ; les deux autres, âgés 36 et 23 ans, étaient en urgence relative.

Une quinzaine de sapeurs-pompiers de Joigny, Migennes, Brienon-sur-Armançon, et Chemilly, sont intervenus sous le commandement du lieutenant Benjamin Treny. Les gendarmes de la brigade territoriale autonome (BTA) de Migennes se sont également rendus sur place, afin, notamment, de procéder aux constatations d'usages.

« Cet accident me désole, je pense aux familles des victimes, a indiqué le maire de Brienon, Jean-Claude Carra.  Je ne pas ce qui s'est passé : le véhicule roulait sur une ligne droite, sans obstacle... je ne comprends pas ».

Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l'accident.

Un automobiliste de 19 ans tué dans un violent accident de voiture à Julienrupt


Les routes vosgiennes endeuillées pour la première fois en 2019.

Un violent accident s'est produit ce mardi peu avant 13h, sur la commune du Syndicat, route de Julienrupt.  Deux voitures se sont percutées.

L'un des deux conducteurs, âgé de 19 ans, se trouvait en arrêt cardiaque. Les pompiers vosgiens ainsi que le SAMU ont été dépêchés sur place. Malgré leurs efforts, la victime est décédée sur place.

L'autre conducteur, plus légèrement blessé, âgé d'une trentaine d'année, a été hospitalisé à Remiremont.

La police de Remiremont chargée de l'enquête a lancé un appel à témoins, pour tenter d'éclaircir les circonstances de cet accident mortel.

Près de Saumur. Un motard décède dans une collision


Un homme de 28 ans, habitant dans les Deux-Sèvres, a perdu la vie, ce dimanche 20 janvier, à Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire).

L’intervention d’une équipe du Samu et d’un hélicoptère pour transporter la victime n’y a rien fait. Un homme de 28 ans, habitant dans les Deux-Sèvres, a perdu la vie, ce dimanche 20 janvier, à Montreuil-Bellay, dans le Saumurois (Maine-et-Loire).

 

Enquête en cours

 

Il circulait à moto sur la départementale 347, en direction de Saumur, au moment des faits, peu après 15 h. Il est entré en collision avec une camionnette, au niveau d’une intersection. Un autre véhicule pourrait être impliqué dans l’accident. Une enquête de gendarmerie a été ouverte pour déterminer les circonstances précises de l’accident. Elle est confiée à la brigade de Montreuil-Bellay.

 

Une quinzaine de pompiers

 

Sur place, d’importants moyens ont été déployés. Outre le Smur et l’hélicoptère, une quinzaine de pompiers étaient présents. Mais le décès a été constaté une demi-heure après les faits. Les gendarmes de Montreuil-Bellay et ceux du peloton motorise de Vivy ont sécurisé les lieux. Vers 17 h 30, la circulation a été rétablie.

Assais-les-Jumeaux Un trentenaire se tue en percutant un muret


Samedi, peu après 19 heures, un automobiliste a trouvé la mort alors qu'il circulait sur la route départementale 60, entre Assais et Les Jumeaux.

Douze sapeurs-pompiers ont immédiatement été mobilisés afin de lui porter secours.
Piégé dans le véhicule accidenté, l'homme, âgé de 33 ans, n'a malheureusement pas survécu à ses blessures.

Son décès a été constaté par un médecin du SMUR.

Sa voiture aurait percuté à vive allure un muret.

Montpellier : un motard de 30 ans meurt après une collision avenue de Toulouse

 
L'accident s'est produit ce samedi 19 janvier soir vers 20 h 40. Le trentenaire n'a pu être réanimé.

Un nouvel accident est survenu sur l'avenue de Toulouse, ce samedi soir, vers 20 h 40, entre une moto et une voiture. Le motard, un homme âgé de 30 ans, n'a pu être réanimé et a été déclaré décédé.

 

En état de choc

 

Âgée de 40 ans, la conductrice sous le choc a été transportée par les sapeurs pompiers de Fabrègues sur le CHU de Lapeyronie.

 

Un demi-tour sur l'avenue

 

Selon nos informations, la conductrice aurait tenté d'opérer un demi-tour sur l'avenue, en franchissant la ligne continue. Le conducteur du deux roues qui arrivait en sens inverse n'aurait pu éviter le choc.

 

Un autre accident mortel la veille

 

Vendredi, vers 14 h 15, le conducteur d'une moto, Gardois âgé de 48 ans, a perdu la vie alors qu'il circulait sur la route départementale D610, sur la commune de Saint-Geniès-des-Mourgues. Il aurait été percuté par un véhicule qui roulait en sens inverse. À bord de la voiture, le conducteur aurait voulu tourner à gauche.

Un Girondin de 25 ans se tue dans un accident d’escalade en vallée d’Aspe

                               Le jeune homme a dévissé en redescendant la falaise.

L’accident a eu lieu samedi après-midi. La victime a fait une chute de 100 mètres

Un dramatique accident d’escalade a coûté la vie à un jeune homme de 25 ans samedi en vallée d’Aspe, dans les Pyrénées-Atlantiques. Ce Girondin installé à Martignas-sur-Jalles a dévissé sur une centaine de mètres. Les secours n’ont pu que constater son décès.

Il était parti le matin de Gironde avec un ami de 29 ans. Les deux hommes avaient entrepris l’escalade de la falaise de Pène d’Udapet, à Borce. Un défi qui se réalise en dix cordées. En milieu d’après-midi, le duo n’avait achevé que trois de ces dix secteurs et a donc décidé de redescendre.

Le plus jeune est redescendu à hauteur d’une vire herbeuse entre les deuxième et troisième secteur. Il s’est détaché pour permettre à son acolyte de descendre à son tour. Mais il a glissé sur l’herbe enneigée alors qu’il comptait rejoindre la cordée plus en bas.

L’ami de la victime n’a pas été blessé. Il a été pris en charge par des amis.

samedi 19 janvier 2019

Sury-le-Comtal: renversé par une voiture, le piéton de 17 ans a succombé à ses blessures


Dimanche 14 janvier vers 19h30, un piéton de 17 ans, domicilié à Boisset-lès-Montronds, avait été renversé par une voiture, route de les Chaux, à Sury-le-Comtal. Le conducteur âgé de 41 ans, qui circulait dans une Mercedes classe B, avait voulu se déporter sur la droite et avait croisé un véhicule en sens inverse. Il aurait été aveuglé et avait percuté l'adolescent.

La brigade d'Andrézieux-Bouthéon et les pompiers de Sury-le-Comtal et de Saint-Romain-le-Puy étaient intervenus sur place.

Inconscient, le jeune homme avait été intubé en urgence absolue par le Samu avant d’être évacué vers le CHU Nord. Son pronostic vital était engagé. Le conducteur de la voiture, en état de choc, avait lui aussi été pris en charge par les secours. Le maire de la commune, Yves Martin, s’était également rendu sur les lieux de l’accident.

Dans la nuit de mardi à mercredi, le jeune homme de 17 ans est mort, succombant à ses blessures.

Dordogne : un jeune homme à scooter meurt percuté par un fourgon, l'automobiliste avait bu

 En Dordogne, à Nantheuil, un jeune conduisant un scooter a été percuté par un fourgon. Il n’a pas survécu.

Un jeune homme de 19 ans de Dussac est mort ce vendredi soir sur la Départementale-707 à Nantheuil rapporte Sud Ouest. Le chauffeur du fourgon qui l'a percuté n'a pas réalisé immédiatement : il avait trop bu. Ce conducteur de 39 ans a appelé les gendarmes sitôt rentré chez lui à Dussac.

Le conducteur du fourgon est en garde à vue à Thiviers. Cet homme de 39 ans a appelé les gendarmes ce vendredi soir à 22h50, pour expliquer qu'il venait de percuter "quelque chose" sur la route à Nantheuil. Il avait apparemment beaucoup trop bu pour réaliser qu'il venait de tuer un jeune de 19 ans qui roulait à scooter, originaire de son propre village de Dussac.

Le conducteur du fourgon a également téléphoné au maire du village, qu'il connaît. Philippe Rousseau s'est tout de suite rendu sur les lieux de l'accident. À son arrivée, les secours étaient déjà sur place, prévenus par un automobiliste.  Le SAMU et les pompiers n'ont rien pu faire pour ce jeune homme à scooter, retrouvé mort aux côtés des débris de son engin sur la Départementale-707, près du lieu-dit "La Verdale". L'automobiliste sera interrogé ce samedi matin, quand son alcoolémie le permettra.

Pour le maire, pas de doute, le choc a été très violent, aux vues de l'état du fourgon et du scooter. Le casque de la victime a été retrouvé à plusieurs mètres des restes de son scooter, toujours d'après Philippe Rousseau. Mais ce samedi matin, pour lui et les habitants du village, c'est l'incompréhension : comment l'accident a pu être aussi violent ? Est-ce que le scooter était à l'arrêt au bord de la route ? En panne ? Car selon le maire, les deux véhicules roulaient dans le même sens.

Il précise que le jeune homme était habillé en noir, que son casque et son scooter étaient aussi de cette couleur. Pour l'instant, on ne sait pas s'il avait allumé ses phares. 

vendredi 18 janvier 2019

Accident de la route en Sarthe. Mort d’un motard à Sablé


Une voiture et une moto se sont percutées route du Mans à Sablé-sur-Sarthe, jeudi 17 janvier 2019, vers 21 h 30. Le motard est mort dans l'accident. 

Un motard est mort lors d’un accident de la route en Sarthe. La collision avec une voiture a eu lieu à Sablé-sur-Sarthe, jeudi 17 janvier 2019.
Vers 21 h 30, la voiture et la moto circulaient route du Mans quand elles se sont percutées en face du magasin Lidl.

Malgré l’intervention des pompiers de Sablé, le motard, un homme âgé de 34 ans, est décédé.
Habitant de Parcé-sur-Sarthe, il était connu dans la commune pour être président de l’Amicale des parents d’élèves de l’école publique.

 

Second mort sur la route en 2019

 

C’est la seconde victime à mourir sur les routes du département depuis le début de l’année 2019.
En 2018, 39 personnes sont mortes lors d’un accident de la circulation en Sarthe.

L’enquête des gendarmes de Sablé devra faire la lumière sur les circonstances de l’accident. 

Saint-Laurent-du-Var : un accident fait un mort et trois blessés légers

L'accident s'est produit sur ce vendredi matin sur le pont Napoléon III à l'entrée de Nice.

Un accident survenu ce vendredi matin vers 8h45 sur le pont Alexandre III à Saint-Laurent-du-Var dans les Alpes-maritimes a fait un mort et trois blessés légers. Trois motos et une voitures ont été impliqués. La circulation est toujours à 11 heures ralentie.

Vers 8h45 ce vendredi 18 janvier, un accident est survenu sur le pont Alexandre III à Saint-Laurent-du-Var dans les Alpes-Maritimes. D'après les premiers éléments constatés sur place et confirmés par les sapeurs-pompiers, le conducteur d'une moto un homme de 35 ans et décédé dans le choc.

Le bilan de ce tragique accident est lourd, puisque trois autres personnes sont aussi légèrement blessées : une femme de 24 ans, et deux hommes âgés de 50 ans.

Des policiers du commissariat de Cagnes-sur-Mer, ainsi que de la Brigade des accidents et délits routiers (BADR) et de la police technique et scientifique de Nice se sont notamment rendus sur place. Les circonstances de l'accident restent pour l'heure inconnues. 21 membres du SDIS des Alpes-Maritimes et du SMUR étaient sur palce.

La circulation est toujours à 11 heures ralentie. Elle a d'abord été coupée dans les deux sens

Près de Vitré, un jeune homme de 22 ans décède dans un accident de voiture


Jeudi 17 janvier, dans la soirée, un jeune homme a trouvé la mort dans un accident de la route, sur l'axe Vitré - La Guerche. Son véhicule a heurté le mur d'une maison.

Jeudi 17 janvier 2018, vers 23h, un accident mortel s’est produit sur la route Vitré – La Guerche (D178), au lieu-dit Le Bois des Cherbault, sur la commune d’Argentré-du-Plessis.

Un jeune homme de 22 ans habitant Erbrée était seul à bord de son véhicule. Il a perdu le contrôle de sa voiture et a heurté violemment le mur d’une maison situé en bordure de l’axe.

 

Décédé sur place

 

La gendarmerie de Vitré indique que le conducteur est décédé sur place malgré l’intervention des secours.

Un homme découvert mort dans un bungalow du camping


Le corps d'un homme a été découvert dans un bungalow du camping municipal. Il pourrait s'agir du trentenaire au sujet duquel une alerte pour disparition a été lancée courant décembre.

Une macabre découverte a eu lieu, mardi après-midi, dans une partie désaffectée du camping municipal, actuellement fermé. Un homme d'une trentaine d'années mort depuis plusieurs jours a été retrouvé dans un bungalow hors d'usage. Le premier examen effectué sur place n'a pas permis de déterminer les causes de la mort, même si l'homicide semble écarté. En l'absence de médecin légiste sur les lieux du drame, Charlotte Beluet, procureur du Gers a requis une autopsie du corps afin de déterminer la date et la cause du décès. Nuls papiers permettant de l'identifier formellement n'ayant été retrouvés le corps, l'autopsie diligentée par Madame le procureur devrait permettre par ailleurs de confirmer l'identité de la victime. Les résultats sont attendus aujourd'hui

De fortes présomptions laissent néanmoins penser que la victime serait Kevin Nowak, pour lequel une alerte pour disparition inquiétante avait été lancée mi-décembre par la communauté de brigades de Condom.

 

Porté disparu depuis 1 mois

 

L'avis de recherche avait été relayé par les gendarmes à la demande de la mère de ce Condomois de 33 ans, inquiète d'être sans nouvelles de lui. La victime présumée connaissait des problèmes de dépendance à l'alcool et avait déjà disparu à plusieurs reprises ces derniers mois.

Souffrant d'altérations du comportement, Kevin Nowak ne s'était , semble-t-il , pas remis du grave accident dont il avait été victime en novembre 2017. Alors qu'il traversait la chaussée à proximité du centre hospitalier , il avait été violemment percuté par un véhicule. Grièvement blessé à la tête, il avait été secouru par le personnel du Smur, transféré au centre hospitalier d'Auch puis héliporté, dans le coma, à Toulouse. Depuis son retour à Condom, il avait dû être pris en charge à plusieurs reprises par les secours, alertés par des passants l'ayant découvert inconscient sur la voie publique.

jeudi 17 janvier 2019

Accident dans le Finistère. Un deuxième homme est décédé, le conducteur mis en examen


Un deuxième homme, âgé de 23 ans, a perdu la vie, ce lundi 14 janvier 2019 en fin de matinée, après l’accident routier survenu peu après 5 h, samedi 12 janvier en début de matinée à Plonéour-Lanvern (Finistère). Le conducteur, un jeune homme âgé de 22 ans, a été mis en examen pour non-assistance à personne en danger, blessures et homicides involontaires aggravés par deux circonstances : délit de fuite et défaut de permis de conduire.

Un deuxième homme, âgé de 23 ans et domicilié à Plobannalec-Lesconil, a perdu la vie des suites de ses blessures, ce lundi 14 janvier 2019 en fin de matinée, à l’hôpital de Brest. Samedi 12 janvier, peu après 5 h du matin, il a été victime d’un accident de la route à Plonéour-Lanvern (Finistère).

 

Un autre passager avait déjà perdu la vie

 

Lorsque les secours retrouvent la voiture accidentée, un des quatre passagers est décédé. Il était également âgé de 21 ans et jouait au foot à l’AS Loctudy, une autre commune bigoudène. Le club lui a rendu hommage. Les deux autres passagers, dont le jeune décédé ce lundi matin, sont alors très gravement blessés. C’est toujours le cas du troisième, qui se trouve ce lundi soir dans le coma à l’hôpital de Brest. Son pronostic vital est engagé.

 

Mis en examen, le conducteur encourt dix ans de prison

 

Le conducteur avait pris la fuite. Retrouvé chez ses parents par les gendarmes, samedi en fin d’après-midi, il a été placé en garde à vue. Ce lundi, il a été mis en examen pour non-assistance à personne en danger, blessures et homicides involontaires aggravés par deux circonstances : délit de fuite et défaut de permis de conduire (il avait passé l’examen vendredi, à 14 h, mais n’avait pas la confirmation de l’avoir obtenu). Le conducteur a demandé un débat, qui aura lieu jeudi 17 janvier au matin devant le juge des libertés et de la détention, au palais de justice de Quimper.
Les analyses pour déterminer si le conducteur était sous l’emprise de l’alcool et de drogues sont en cours. Les résultats devraient être connus dans les prochains jours.

Vague de suicides dans la police: 3 morts en 24 heures


Trois policiers se sont suicidés en 24 heures, en France. Des drames qui laissent entrevoir une nouvelle année noire pour les forces de l’ordre, alors que le taux de suicide dans leurs rangs est particulièrement élevé.

Un gardien de la paix affecté à la Brigade anti criminalité (BAC) de L’Hay-les-Roses (Val-de-Marne) a choisi de se donner la mort ce mardi matin, chez lui, à Brunoy (Essonne), avec son arme de service. Ce père d’une petite fille de 2 ans était âgé de 26 ans.

Ces dernières heures, deux autres policiers se sont suicidés.

Julien P. était âgé de 37 ans, il était affecté à la Compagnie de sécurisation générale (CSG) appartenant à la Brigade des réseaux ferrés (BRF), à Paris. Le policier s’est ôté la vie avec son arme de service, à son domicile, selon nos informations.

Un autre drame touche la CRS 16, la Compagnie républicaine de sécurité de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais. Stany Specq, âgé de 42 ans, s’est suicidé vers 06h30 ce mercredi avec son arme de service.
Ce policier était bien connu à Saint-Omer puisqu’il était conseiller municipal de la commune, et référent LREM (La République en marche) pour le département. Il avait par ailleurs été adjoint au maire de Saint-Omer entre 2008 et 2014 rappelle La Voix du Nord. Stany Specq était père de trois filles.

Sept suicides dans la police nationale depuis le début de l’année

 

Au total ce sont sept fonctionnaires de police qui se sont donnés la mort depuis le 1er janvier, selon un décompte non officiel. Deux policiers du commissariat de La Rochelle (Charente-Maritime) s’étaient suicidés au début du mois, notamment.

Les suicides sont chaque année particulièrement élevés dans les rangs des forces de l’ordre. L’année passée, plus de 35 policiers et au moins 31 gendarmes ont mis fin à leurs jours. Le fléau touche tous les grades, et toutes les directions.

Les Sables-d’Olonne. Un motard décède dans un accident

La collision s’est produite à l’intersection des rues de la Bauduère et de la Justice.

Une collision s’est produite entre une voiture et une moto, aux Sables-d’Olonne, ce mardi 15 janvier 2019. Le motard, âgé de 35 ans, est décédé.

Un accident mortel de la circulation est survenu, ce mardi 15 janvier 2019, vers 19 h 45, à l’intersection des rues de la Bauduère et de la Justice, face à la gare routière, aux Sables-d’Olonne. Une collision s’est produite entre une voiture et une moto.

Une dizaine de sapeurs-pompiers ainsi que le Samu sont intervenus. Les secours ont tenté de réanimer la victime, en vain. Le pilote de la moto, âgé de 35 ans et domicilié aux Sables-d’Olonne, est décédé sur les lieux de l’accident. Le conducteur de la voiture a été blessé.

Angers: Un détenu meurt en prison juste après avoir dénoncé des violences lors de sa garde à vue


Un détenu de 29 ans est décédé dans des circonstances troubles dans la nuit de jeudi à vendredi dernier à la maison d'arrêt d'Angers. Il avait dénoncé des violences policières lors de sa garde à vue. 

Les circonstances du décès de ce détenu sont particulièrement floues. Un jeune homme de 29 ans est mort dans sa cellule de la maison d'arrêt d'Angers dans la nuit de jeudi 10 à vendredi 11. Une enquête a été ouverte par le procureur de la préfecture du Maine-et-Loire pour savoir ce qu’il s’est passé. En effet, ce décès pose question, et pour cause, l'individu s'était plaint de violences policières au cours de sa garde à vue.

Selon le journal Ouest-France, qui révèle l'information, la victime avait fait savoir qu'il avait été frappé par les forces de l'ordre lors de sa garde à vue au commissariat de Saumur entre le 9 et le 10 janvier dernier. Une plainte a été déposée pour violences policières selon le procureur de Saumur. Le magistrat a également fait savoir que l'Inspection générale des services de police (IGPN) a été saisie de l'affaire comme dans chaque cas de violences policières présumées.
Le quotidien fait savoir que des expertises toxicologiques ont été ordonnées pour déterminer si une interaction médicamenteuse aurait pu provoqué la mort du détenu. La victime était un délinquant toxicomane au lourd dossier judiciaire.

"Selon un premier rapport du médecin légiste, il n’y a pas de lien entre la mort et les conditions d’interpellation. Il n’y a pas de lésion traumatique susceptible d’expliquer le décès", a assuré à Ouest-France le procureur d’Angers Yves Gambert.

mercredi 16 janvier 2019

Narbonne : l'homme mortellement percuté par un train mardi soir est originaire de Perpignan, la piste accidentelle privilégiée

 
Les faits se sont produits mardi soir, vers 19h30. La piste accidentelle est privilégiée.
 
Un homme âgé de 30 ans a été percuté par un train hier, mardi 15 janvier, en gare de Narbonne, vers 19h30. L'homme, domicilié à Perpignan, est décédé sur le coup. Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime et une autre personne, témoin de la scène, se trouvaient sur la voie de chemin de fer au moment où le train est entré en gare. Si l'un a réussi à s'extirper avant que le train ne le percute, le second a été fatalement heurté. La piste du suicide a rapidement été écarté.

Les policiers du commissariat de Narbonne, immédiatement dépêchés sur le lieu de l'accident, ont procédé à l'audition des témoins. A leur arrivée, la dizaine de pompiers du centre de secours de Narbonne envoyée sur place, n'ont pu que constater le décès de la victime.

Cet accident a provoqué une interruption du trafic ferroviaire pendant plusieurs heures, le temps pour les enquêteurs de procéder aux constatations d'usage.

Digne-les-Bains : l'ouvrier grièvement blessé à la tête a succombé à ses blessures


L’ouvrier, grièvement blessé sur un chantier de l’avenue François-Cuzin à Digne-les-Bains, est décédé après avoir été admis à l’hôpital Nord de Marseille, ce mardi soir. L’homme de 24 ans avait été heurté à la tête par le godet d’une pelle mécanique qui manœuvrait à proximité, un peu plus tôt dans la journée vers 15h30.
La victime, originaire du département, travaillait pour une société de BTP des Alpes-de-Haute-Provence en charge des travaux de voirie.


D'après les premiers éléments, l’ouvrier ne portait pas de casque

 

L’enquête pour déterminer les circonstances de la mort du jeune homme a été confiée à la Sûreté urbaine de Digne-les-Bains. Des investigations sont également menées par l’Inspection du travail. Selon les premiers éléments recueillis, l’ouvrier ne portait pas de casque au moment de l’accident.

mardi 15 janvier 2019

Corse : un homme tué par balles en pleine rue à Sartène

                                Vue aérienne de la ville de Sartène, en Corse-du-Sud

Un homme connu des services de police, âgé de 36 ans, a été abattu par balles en pleine rue à Sartène, en Corse-du-Sud. Il s'agit d'un règlement de comptes lié au banditisme.

Un homme abattu par balles à Sartène, en Corse-du-Sud. En milieu de matinée, en pleine rue, un individu de 36 ans a été pris pour cible par deux individus, selon plusieurs médias locaux. Ces derniers ont ensuite pris la fuite en voiture, précise Corse-Matin.

"Il s'agit d'un règlement de comptes lié au banditisme", a indiqué une source proche de l'enquête précisant que la victime, un restaurateur du Sartenais, était connue de la police et de la justice pour détention d'armes et de stupéfiants.
 L'homme a été tué par "une rafale d'arme automatique de type fusil d'assaut" sur une place du centre-ville vers 10h30, a précisé le procureur de la République d'Ajaccio Éric Bouillard. 

La victime, qui venait de se marier, est la première liée à un règlement de comptes depuis le début de l'année en Corse.

Selon des chiffres officiels communiqués en octobre 2018, il y a eu 11 assassinats ou tentatives d'assassinats (ATA) en 2017 en Haute-Corse dont deux ont été considérés comme des règlements de comptes. En comparaison, en 2012, l'une des années les plus sanglantes en matière de grand banditisme en Corse, 20 ATA avaient été enregistrés dont 14 règlements de comptes.

lundi 14 janvier 2019

Isère. Un jeune homme de 24 ans se tue sur une piste de ski à l’Alpe-d’Huez



Un jeune homme de 24 ans est décédé dans la nuit de dimanche à lundi à Grenoble (Isère) après un accident de ski. La victime avait lourdement chuté dimanche en fin de matinée sur une piste balisée. Souffrant d’un traumatisme crânien, il ne s’est jamais réveillé de son coma.

Un week-end au ski qui finit très mal. Un jeune homme est décédé lundi 14 janvier après une chute alors qu’il skiait sur une piste sécurisée à l’Alpe d’Huez (Isère). Hospitalisée dimanche 13 janvier, la victime n’a pas survécu à ses blessures.

Le jeune homme, âgé de 24 ans et originaire de la région parisienne, se trouvait en week-end d’entreprise au ski avec ses collègues. Il a subi une lourde chute dans un secteur balisé de la station en fin de matinée, rapporte France 3 Auvergne Rhône-Alpes.

 

Décédé dans la nuit

 

Il a d’abord été rejoint et pris en charge par des pisteurs, jusqu’à l’arrivée du peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de l’Isère. Le jeune homme souffrait d’un traumatisme crânien et de plusieurs autres blessures.

Plongé dans le coma, il a ensuite été emmené en hélicoptère jusqu’à l’hôpital nord de Grenoble. C’est là qu’il est décédé des suites de ses blessures dans la nuit de dimanche à lundi. Les autorités enquêtent pour déterminer les circonstances de sa chute et de ses blessures.

Un homme retrouvé mort dans son camion à Fillinges, probablement intoxiqué au monoxyde de carbone

C'est sur la parking de cette discothèque que l'homme a été retrouvé inanimé dans son camion

Un homme de 29 ans a été retrouvé mort ce dimanche sur le parking du restaurant-discothèque "Le Petit Savoyard" à Fillinges en Haute-Savoie. Il a probablement été victime d'une intoxication au monoxyde de carbone.


Un homme a été retrouvé mort ce dimanche sur le parking du restaurant-discothèque "Le Petit Savoyard" à Fillinges en Haute-Savoie.  Il était dans son camion aménagé, dans lequel il avait passé la nuit précédente.

Âgé de 29 ans, il était venu en Haute-Savoie pour le week-end. C’est l'un de ses amis, inquiet de ne pas avoir de ses nouvelles, qui a alerté les secours. D'après les premiers éléments de l'enquête, il aurait été victime d'une intoxication au monoxyde de carbone.

Piolenc : un homme attaché à une chaise retrouvé mort dans une maison d’hôtes

Le portail d’entrée de la maison d’hôtes où a été découvert le corps.

Samedi soir, les gendarmes ont découvert, dans une maison d’hôtes de la commune de Piolenc (Vaucluse), le corps d’un quadragénaire attaché à une chaise, des accessoires sexuels autour de lui. La section de recherche de la gendarmerie de Marseille s’est emparée du dossier. La piste criminelle est privilégiée. L’identité de la victime n’est pas encore connue.

Charente-Maritime : le jeune Rochefortais disparu a été retrouvé mort

Pierre Bonneau, 20 ans, avait disparu depuis la nuit du 3 au 4 janvier. Son corps a été retrouvé ce week-end.

 

Pierre Bonneau, 20 ans, avait disparu depuis la nuit du 3 au 4 janvier. Le corps de ce jeune Rochefortais a été retrouvé ce week-end, selon les informations obtenues par "Sud Ouest" confirmant différents messages de proches publiés sur les réseaux sociaux.

L’enquête sur la disparition avait été confiée à la police judiciaire de La Rochelle. Et, vendredi soir, une information judiciaire était ouverte. D’après nos informations, l’enquête s’oriente, entre autres, sur une disparition qui pourrait être liée à un trafic de stupéfiants.

dimanche 13 janvier 2019

Deux pisteurs tués par l’explosion d’un engin de déclenchement d’avalanche


Ils intervenaient sur le secteur des Lanches, au-dessous de la Pointe de Cupoire en Haute-Savoie.

Deux pisteurs artificiers de la station de Morillon en Haute-Savoie ont été tués ce dimanche matin alors qu’ils procédaient au plan de prévention des avalanches de la station avant l’ouverture des pistes indiquent nos confrères du Dauphiné Libéré

 

Âgés de 44 et 53 ans

 

L’accident s’est produit vers 08H30 à 1 880 mètres d’altitude, alors que les deux hommes, âgés de 44 et 53 ans, "procédaient au plan d’intervention et de déclenchement des avalanches" (PIDA) mis traditionnellement en place par chaque station avant l’ouverture des pistes, ont indiqué les secours.
D’après les premiers éléments, les deux employés de la station étaient sur le secteur des Lanches, au-dessous de la Pointe de Cupoire quand ils ont été tués par le déclenchement des explosifs qu’ils manipulaient.

"L’accident a eu lieu sur une ligne de crête située entre les stations de ski de Morillon et des Carroz", a précisé le lieutenant-colonel Stéphane Bozon, commandant du PGHM de Chamonix.


Une enquête a été ouverte. Les enquêteurs ont achevé leur travail de constatations vers 14H30 avec la levée des corps des deux victimes.

Dans un communiqué, le Grand Massif - association de domaines skiables dont fait partie la station de Morillon - a tenu à exprimer son "entière solidarité avec les proches de leurs deux collègues et amis".

Météo France avait mis en garde contre un risque d’avalanche "fort", de niveau 4 sur une échelle de 5, dimanche en Savoie et en Haute-Savoie en raison des chutes de neige attendues sur les massifs de ces départements.

Roanne : un corps retrouvé dans la loire

  Un jeune homme de 19 ans, disparu à Roanne (Loire) dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 novembre, a été retrouvé mort ce lundi. Son ...